En effet, il semble y avoir quelque chose de périssable dans l’albâtre, qui se rapproche du vivant, qui l’a peut-être déjà été et qui peut de nouveau l’être. Quelque chose que l’on a oublié, et qui peut être remémoré. Parce que dans l’albâtre rien n’est figé pour toujours, comme dans les autres pierres.
Paulo Venancio Filho